Claude se fait sauter sur un parking

Du clavier de mon ordinateur, je jetai un œil sur l’extérieur. Le temps était vraiment superbe. Nous étions en mai, la saison s’annonçait bien. Cela faisait plusieurs jours que je n’avais pas réellement mis le nez dehors. Absorbé par mon travail j’étais resté scotché à mon PC, traduisant un roman Anglais que je devais livrer à l’éditeur pour la fin du mois. Mon travail avançait bien, j’avais même de l’avance. Dans ce cas je n’avais plus aucun scrupule à l’abandonner pour quelques heures. La veille, justement j’avais pris soin de mon corps. Comme tous les quinze jours je m’étais complètement épilé les jambes, et j’avais soigneusement taillé ma toison pubienne. Un petit rectangle vertical de poils subsistait au dessus de mon sexe, et mes testicules étaient soigneusement épilés.

Ayant refréné mes démons depuis quelques semaines j’étais pour ainsi dire en manque. Après m’être douché, j’enfilais donc un mini short en jean un peu frangé, puis un débardeur qui mettait parfaitement en valeur mes épaules brunies par le soleil. Pour terminer des chaussures légères, assorties à mes socquettes. Il ne me restait plus qu’à discipliner mes cheveux longs avec un catogan, ajouter une touche de parfum et le tour serait joué. Un coup d’œil dans la glace, me renvoya la silhouette androgyne d’un garçon de 1.70 mètre pesant tout mouillé une soixantaine de Kg. Je jetai un coup d’œil à mes fesses moulées dans le mini short. Sans être narcissique je trouvai que mon petit cul était plutôt bandant.
Évidemment, avec un tel look j’aurais eu du mal à passer pour un macho. J’avais le look de la jolie tapette par excellence. J’assumai complètement, d’autant plus que pour fréquenter le coin ou j’allais me rendre, ma tenue équivoque me vaudrait sûrement d’intéressantes rencontres.

Je sortis ma mini du garage, puis démarrai en direction d’un parking bien connu en bordure de côte. En effet celui-ci était renommé pour les rencontres que l’on pouvait y faire. Il était très fréquenté par la gent masculine, en mal de partenaires du même sexe.
Après 20 minutes de route, j’arrivai sur le lieu, puis me dirigeai vers la partie la plus éloignée des regards indiscrets. J’étais seul, pas une âme qui vive à la ronde. Un peu dépité, je décidai d’attendre. Au bout d’une demi heure, ma patience fut récompensée. Une Saab noire roulait lentement dans ma direction, quand elle passa près de moi, j’observai le conducteur. Celui-ci était jeune et à mon avis n’avait guère plus de 30 ans. J’eus le temps de bien voir son visage. L’homme présentait bien, il ne restait plus qu’à espérer qu’il vienne lui aussi chercher une rencontre agréable. La voiture stationna à une dizaine de mètres face à moi. Le conducteur fit un bref appel de phares. Je descendis alors de mon véhicule, et m’approchai de la Saab.
-Bonjour beau gosse me dit l’homme.
-Bonjour répondis-je !
-J’ai envie de passer un petit moment agréable si tu es partant me dit-il.
-Sans répondre, je fis le tour de la voiture et montai dans le véhicule.
-Je m’appelle Alex et toi ?
-J’aime beaucoup ton prénom, moi c’est Claude.
-Je suis ravi de te rencontrer, tu es vraiment un très joli garçon.
-J’en ai autant à ton service, tu me plais beaucoup.
-Alex passa son bras autour de mes épaules, puis m’attira doucement vers lui. Sa bouche se posa sur la mienne. J’entrouvris les lèvres, le laissant envahir ma bouche avec sa langue. Elle était chaude, avec un arrière goût de réglisse. Pendant notre baiser, je sentis sa main caresser mes cuisses. Elle me provoquait de délicieux frissons. Pour ne pas être en reste, je glissai ma main dans l’échancrure de sa chemise, et me mis à agacer ses tétons. Sa poitrine lisse était très douce au toucher, et je ne me lassai pas de la caresser. Je me sentais de plus en plus excité, son parfum et ses caresses m’enivraient. Désirant précipiter les choses, je m’arrachai un peu à regret à ses lèvres, et ouvrant la chemise un peu plus, je posai ma tête sur son torse, puis je me mis à lutiner ses tétons à tour de rôle. Pendant ce temps, ma main s’activait sur le pantalon de mon partenaire. Son sexe avait pris de généreuses dimensions, et devait se trouver un peu à l’étroit. Je dégrafai la ceinture, descendis le zip, puis libérait sa queue.
-Elle est superbe m’exclamai-je !
-Ravi qu’elle te plaise.
A nouveau nous nous embrassâmes, nos langues se mêlant dans un tendre baiser. Simultanément j’avais empoigné le bel engin, et faisais coulisser ma main sur la hampe noueuse.

J’adore branler un garçon, sentir la chaleur de sa bite, la sentir gonfler par le désir, la caresser sans fin.
Alex me faisait des baisers dans le cou, puis il me lécha le lobe de l’oreille, s’amusant à le mordiller. Ce genre de chose me chavire complètement. Je continuai encore un moment à masturber mon nouvel ami, m’attardant un peu sur ses bourses, puis je remontai sur la colonne vibrante de désir. En manque de sexe comme je l’étais depuis quelques semaines, je ne pouvais pas faire attendre Alex plus longtemps. Ma tête descendit entre ses cuisses, puis je posai mes lèvres sur le gland décalotté. Il avait une jolie couleur rosée, une petite goutte perlait sur le méat. Gourmande, je la cueillis d’un coup de langue, puis me mis à lécher le gland. J’enroulai ma langue autour, le salivai pour le rendre humide et encore plus sensible. J’aime les premières fois ou l’on découvre un sexe inconnu, j’aime humer ces odeurs, quelquefois un peu épicées, m’enivrer de ces nouvelles fragrances.
Après l’avoir bien salivé, je l’avalai lentement, m’empalai sur lui, jusqu'à ce que mes lèvres rejoignent la racine du sexe. Dans ce cas, j’avais du mérite car la queue du mâle devait mesurer une bonne vingtaine de centimètres, et son diamètre n’était pas en reste. J’entendis Alex soupirer de plaisir, et sa main se posa sur ma tête pour m’accompagner. Il caressait mes cheveux, ma nuque, mes joues gonflées par son superbe vit.

Je sentis son autre main se poser sur le bas de mes reins, elle flatta mes fesses quelques instants, puis s’inséra dans mon short. Je lui facilitais un peu la tâche, en libérant l’attache du short, le zip s’ouvrit tout seul sur mon sexe tendu qui jaillit aussitôt. J’en profitais pour me masturber. Alex fit coulisser mon short et mon string sur mes cuisses. Puis sa main s’insinua dans ma raie cherchant mon anus. Je sentis un doigt titiller mon orifice, puis l’abandonner avant de revenir humidifié. Je soulevais mes fesses pour faciliter l’introduction. Le doigt frotta quelques instants ma rondelle, puis s’enfonça dans mon petit cul. Délicieuse pénétration que ce mini enculage. Encouragé par cette petite gâterie, j’accélérais les va et vient sur sa queue, pompant à fond ce magnifique organe. Le ventre d’Alex venait à ma rencontre, enfonçant son sexe au fond de ma gorge. Je suçais sa bite comme un fou, Alex se mit à émettre des râles de plaisir, tout en continuant à pistonner mon cul avec ses doigts. Je sentais mes reins s’ouvrir de plus en plus à ses doigts. Soudain je sentis la verge gonfler, puis un flot de foutre inonda ma gorge. J’avalais quelques gorgées, dégustant ce doux breuvage, puis je continuais cette divine fellation, la bouche dégoulinante de foutre tiède. Je pressais la tige, extirpant les dernières gouttes du précieux liquide. Alex me releva, puis ses lèvres s’écrasèrent sur les miennes. Nos salives se mêlèrent au foutre d’Alex qui avait l’air ravi de ce baiser au goût de sperme. J’avais toujours ses doigts dans mon petit trou. Ne voulant pas être en reste, Alex me repoussa sur l’autre siège, et abaissa le dossier. Il écarta mes cuisses puis d’un seul coup il engloutit mon sexe et le suça, tout en continuant à me doigter l’anus. Soumis à ce régime, mon excitation fût bientôt a son paroxysme et ma jouissance allait elle aussi bientôt inonder la bouche d’Alex. Mon plaisir éclata d’un coup, j’éjaculai une grande giclée de foutre qu’Alex avala sans sourciller, puis tout en continuant sa fellation sa main continua à branler ma queue pour recueillir tout le jus de mes couilles. Après avoir soigneusement nettoyé ma queue, sa langue s’enfonça dans ma rosette quelques instants. Quel délice ! A nouveau nous nous embrassâmes, notre baiser avait toujours un goût de foutre, un vrai régal.

-Alors mon petit chat : tu as aimé ?
-J’ai adoré, et toi ?
-Tu m’as merveilleusement sucé et j’ai beaucoup aimé quand tu as avalé tout mon sperme. Quel dommage que le lieu ne soit pas assez discret, car j’avais une folle envie de te faire l’amour.
-Peut-être une fois prochaine dis-je ?
-J’ai une idée, je suis très pris en ce moment, mais j’aimerai beaucoup te revoir, si tu es d’accord bien sûr. Qu’en penses-tu ?
-Ce serait avec plaisir.
-Si tu veux je t’appelle dès mon retour, et je t’invite un week-end à la maison.
-Ravis tous les deux de pouvoir à nouveau nous retrouver, nous échangeâmes nos numéros de téléphone. Alex après m’avoir demandé si j’étais d’accord, prit une photo de moi encore à moitié dénudé avec son portable.
-Tu vois je vais la regarder tous les soirs jusqu'à ce que nous nous revoyons, et je penserai à toi.
Après un dernier baiser d’adieu je le quittai, tout en étant impatient de le revoir. C’était la première fois que j’éprouvais un tel plaisir avec un garçon. Non seulement il était très bel homme, mais ses manières étaient vraiment très raffinées. Cela me changeait de certaines étreintes un peu brutales, mais qui n’étaient pas toujours pour me déplaire.
Ces petites agapes m’avaient mis en appétit. Mon petit cul était pour l’instant encore sevré d’amour, et j’avais bien l’intention de lui offrir une jolie queue pour le satisfaire.

Pendant que je rêvai à de futures étreintes, un énorme camion rutilant s’engagea sur le parking. A son volant un homme d’une quarantaine d’années et d’un physique agréable me fit un signe d’amitié en passant. Il devait avoir une CB à bord, car une petite pancarte arborait le prénom Teddy au bas de son pare-brise.
Décidément ce devait être mon jour de chance. Sitôt le véhicule arrêté, je m’approchai nonchalamment du conducteur.
-Bonjour Teddy !dis-je au routier
-Salut beau gosse ! Ça te dirait de visiter un beau camion tout neuf …..Et plus si affinités ajouta-t-il.
-C’est une proposition alléchante répondis-je.
Puis joignant le geste à la parole, j’escaladai le marche pied et m’installai dans la cabine.
-Alors mon chou tu te sentais seul me dis Teddy ?
-J’avais envie de passer un petit moment sympa en bonne compagnie.
-Tu tombes bien, cela fait quinze jours que je voyage sans trouver de personne intéressante. Puis se frottant l’entre jambes, il me dit : mes couilles sont pleines à ras bord, elles ont bien besoin d’être vidées.
Après le moment passé avec Alex, le langage du routier était un peu plus cru. Ce n’était pas le moment de faire la fine bouche. D’autant plus que le routier n’était pas mal du tout.
-Je vais nous faire un peu d’intimité. Et joignant le geste à la parole, il obtura complètement la cabine, grâce aux stores dont elle était équipée. Un toit transparent apportait la lumière, c’était donc parfait pour nos futures activités.
-Allez au boulot mon mignon me dit-il en sortant sa queue.
Obéissant, je m’approchai du mâle, puis me mis à avaler sa bite. Elle avait une petite odeur musquée, mais pas désagréable. Goulûment, je pompais l’engin encore un peu mou, tout en le branlant. Quel pied mes chéris. Je mignotais la bête, la léchant tout le long, puis je suçais ses bourses.
-C’est bien mon chou, continue, j’adore que l’on me bouffe les couilles. Régale-toi !
En même temps il m’appuyait sur la tête, me forçant à bouffer sa queue. A nouveau je repassai ma langue sur les boules tièdes, puis par jeu je les avalai une à une, puis les malaxai dans ma bouche. L’homme ne se sentait plus car il gémissait de plaisir.
-T’es vraiment une bonne salope, tu suces comme une reine.
Encouragé par ses compliments, je m’appliquai encore plus sur le nœud. Il était dégoulinant de salive, ma bouche était tellement humide qu’elle en devenait aussi accueillante qu’une chatte.
-Arrête salope tu vas me faire jouir, laisse moi un peu souffler !
Ma bouche abandonna un peu à regret le joli jouet, mais je continuai à masser doucement la tige qui maintenant était devenue énorme. J’embrassai le male à pleine bouche, lui faisant goûter ma salive mélée au goût de sa queue. Après ce savoureux patin, il me lâcha puis me dit.
-Fous toi à poil que je vois ton joli petit cul, mais on va s’installer sur la couchette.
Je grimpai sur la couchette, puis j’enlevai mon débardeur. Une fois celui-ci oté, je me mis à quatre pattes en faisant saillir ma croupe.
-Continue tu m’excites.
Je dégrafais mon short, puis le fis glisser sur mes cuisses, dévoilant mes fesses.
-Très joli cul mon chou.
J’ondulais des reins, tout en caressant ma raie, puis écartant mon string, je lutinai ma rosette quelques instants. J’étais de plus en plus excité. Je mouillai mon doigt, puis l’enfonçait dans mon anus.
-Vas-y ma petite salope mouille bien ton petit trou, pour que je te le défonce.
Encouragé de cette façon, je n’avais plus qu’à m’exécuter. Mes doigts allaient de ma bouche à mon anus, lubrifiant ma petite rondelle. J’enfonçai deux doigts, puis trois, élargissant l’orifice. N’en pouvant plus, je le suppliai de me prendre.
- Viens, encule-moi bien à fond.
Le mâle s’approcha, son sexe vint buter contre mes fesses. J’attrapai le bel engin, puis le guidai vers mes reins. Le gland s’écrasa contre mon anus. L’homme poussa fermement son dard qui s’enfonça lentement en moi. Je poussai un petit cri de plaisir. La queue tant désirée était enfin en moi. Le bas ventre de Teddy était collé à mes fesses. Il resta quelques instants sans bouger, me laissant savourer cette prise de possession. Dans ces moments là, je me sens comme une femelle en rut, livrée à la fantaisie des males, complètement abandonné, ne pensant qu’a une chose me faire défoncer ma petite rondelle, jusqu'à l’éclatement final, quand le sexe se vide par longues giclées tièdes.
Teddy en même temps s’amusait avec mon sexe débandé, puis il se mit à limer mes reins, tout en douceur, mais en me faisant profiter de toute la longueur de sa belle queue. Je jouais des reins pour l’accompagner, mes fesses claquaient contre ses cuisses. Le tout, ponctué par mes gémissements de plaisir.
-Tu aimes ça mon mignon, n’est-ce pas.
-Oh oui !! Vas-y chéri, bourres moi bien à fond.
-Tu sais que tu es vraiment une salope ?
-Oh oui ! et je le revendique.
Teddy avait changé sa façon de me tringler, maintenant il s’enfonçait tout au fond, puis sortait sa bite complètement, laissant mon anus ouvert à tous les vents. Puis quelques secondes plus tard me pénétrait de nouveau. Il joua encore de longues minutes avec sa bite dans mes reins, sa main me branlait toujours, nos bouches se mêlaient elles aussi, sa langue chaude envahissait ma bouche. Par jeu, je me mis à la sucer comme une petite bite.
-Ça y est je suis sur le point de jouir s’exclama Teddy.
-Aussitôt je m’arrachai à l’emprise du mâle, Teddy voulut se finir avec la main, mais j’empoignai son sexe et l’engloutit, puis je me mis à le pomper vigoureusement. Il n’en fallut pas beaucoup plus pour arriver à mes fins. La queue se gonfla, et d’un seul coup une longue giclée de foutre inonda ma bouche. Le jet violent était si abondant que j’en avalais une bonne rasade, à nouveau deux autres jets suivirent. Ma bouche dégoulinait de foutre tiède. Teddy m’attira à lui et m’embrassa à peine bouche. Son jus se mélangeât à nos salives, nous le gardâmes un moment, puis chacun en avala.

-Tu m’as superbement baisé mon chéri.
-Ravi que cela t’ai plu, mais baiser un aussi joli cul est un vrai régal.
Tout en discutant je branlochai la tige encore humide, une grosse goutte perlait au bout du gland. Je lapais la goutte puis je léchais la verge qui se ramollissait.
-Tu es insatiable, mais si tu veux que l’on remette le couvert, il faudra attendre un peu.
-J’ai une petite idée pour continuer un peu.
-Ah bon ! Et c’est quoi ?
Sans répondre, j’humectais mon doigt, puis l’approchais de la rondelle de Teddy, je tournais un peu, pour l’humidifier, puis à nouveau suçait mon doigt, avant de le poser sur le minuscule orifice.
-Tu ne vas quand même pas m’enculer ?
-Tu ne l’as jamais fait ?
-Non !
-Tu veux essayer ?
-Je ne suis pas une gonzesse !
-Ce serait dommage de passer à côté de ce genre de plaisir tu sais. De plus mon sexe est très fin, il t’enculera tout en douceur.
-Peut-être, mais je vais quand même me faire sauter !
-Laisse moi te préparer, je vais le faire tout en douceur, et si vraiment tu as mal j’arrêterai, d’accord ?
-Bon, mais vas-y doucement !
Pour commencer, je m’agenouillai entre ses cuisses, et commençais à lui lutiner la rondelle. La pointe de ma langue léchait le minuscule orifice. Petit à petit, je sentais l’œillet s’épanouir, maintenant, ma langue s’enfonçait doucement, dilatant l’anus. Aux petits râles de plaisir de mon compagnon, je sentais bien que ce genre de caresses profondes lui plaisait. Je remplaçai ma langue par un doigt, puis un deuxième suivit rapidement. De temps en temps je déposai un peu de salive sur les doigts, avant de les enfoncer de plus en plus. Simultanément, j’écartai mes doigts pour dilater le petit trou. Il devenait à point, j’ajoutai un troisième doigt qui pénétra le délicat pertuis sans difficulté. Je me mis en bonne position, puis relevai les jambes de Teddy. Son anus dégoulinant de salive était complètement offert. J’ajustai mon gland sur la rondelle, puis forçait doucement. Teddy se crispa.
-Détends toi mon chéri, laisse toi aller.
-On voit que ce n’est pas toi qui vas passer à la casserole !
Finalement, il décida de se laisser faire, je donnai un léger coup de reins, qui fit pénétrer le bout de ma queue. Teddy poussa un petit cri de douleur. J’arrêtai ma progression, le temps que son anus m’accepte. Je déculai, puis lubrifiai mon sexe, ainsi que l’entrée de ses reins. A nouveau je m’enfonçai en lui. Cette fois ma bite l’enfila jusqu’au bout. Restant enfoncé dans ses reins, sans bouger, je m’allongeai sur l’homme puis m’emparai de sa bouche. Nos langues se mêlèrent une fois de plus pour notre plus grand plaisir. Sentant que Teddy se détendait, acceptant le fait de se faire enculer, j’entamai un va et vient, en savourant ce déflorage. Au bout de quelques minutes Teddy se mit à onduler sous moi, baisant à l’unisson.
-Tu aimes petit cochon ?
-Je n’aurai jamais crû que cela pût être aussi bon.
-Bienvenu dans le monde des folles du cul mon chéri !
-Tu es vraiment une salope toi !

Nous continuâmes encore un bon moment à baiser, ma main s’activait aussi sur son sexe. Sentant les prémices de sa jouissance, je déculai à nouveau, enjambai mon compagnon, et m’empalai sur sa queue. Je chevauchai le mâle, comme une salope en rut, pendant que Teddy me branlait. A ce rythme là, la séance n’allait pas tarder à se conclure. Dans un grand cri Teddy se mit à jouir en longues saccades, déversant sa semence dans mon cul. Serrant les fesses je m’empalai doucement, essorant la tige qui me baisait si bien. Teddy accéléra son branlage, faisant fuser un long jet de foutre sur son corps. Il me vida consciencieusement, pendant que son torse se couvrait de sperme tiède. Je restai immobile un long moment, puis m’arrachant à ce pieu qui me taraudait si bien, je me mis à lécher le ventre de mon compagnon, récupérant la moindre goutte de foutre. Une fois mon petit ménage terminé, je nettoyai la bite encore toute maculée de jus de mâle. Teddy m’attira à lui pour me rouler un somptueux patin aux relents de liqueur séminale.
-Je crois que c’est vraiment la première fois que je baise comme ça !
-Tu as aimé mon chéri !
-Il faudrait vraiment être difficile, je ne pensai pas que se faire sodomiser pouvait procurer autant de plaisir.
Les meilleures choses ayant une fin, je quittai mon routier « très sympa » après un dernier baiser.