Un samedi à l’Atlas
Après un bref passage à l’EMC, je suis monté à l’Atlas. Comme d’habitude l’entrée dans la salle du bas se fait totalement à l’aveugle. J’adore ça. Au fond de la salle j’aperçois des silouhettes. Je me joins à ce groupe sympathique.
Soudain des cris, une bousculade, des coups sont échangés ! Je ne sais pas pourquoi. Peut être un malpoli a t’il voulu s’imposer à un trav qui ne le voulait pas. Heureusement le calme revient rapidement.
Une main me frôle la braguette, puis m’attrape le sexe par-dessus mon pantalon. Naturellement je l’ouvre et sors l’engin qui commence à bien raidir. Mon branleur est une belle brune, très court vêtue tout en noir. Elle ne tarde pas à se retourner et à me présenter ses fesses pour que je la pénètre. Je ne me fait pas prier. La pénétration est facile, elle est lubrifiée, je bande bien. C’est super agréable. Je lime un bon moment. Elle est penchée sur un siège dans lequel un sénior est assis. Il est au première loge et il en profite bien. Pendant que je travaille par l’arrière il lui branle la bite et lui triture les couilles. À un moment elle se relève et il peut la pomper. J’aimerai bien aussi la sucer mais on ne peut pas tout faire. Autour de nous les gens vont et viennent, regardent, risquent une caresse, attendent leur tour. Au bout d’un quart d’heure, vingt ou trente minutes, je laisse la place très satisfait de moi.
Je fais le tour des lieux. Il y a une bonne dizaine de travs dont plusieurs sont absolument splendides.
Dans la salle du bas une très belle blonde assise au milieu du rang a baissé son bustier et se caresse la poitrine. Je m’approche, frôle son téton. Elle me laisse faire et même m’encourage. Je m’installe à côté d’elle et lui triture les seins et les tétons qu’elle a très proéminents. Je caresse, j’embrasse, je lèche, je mordille.. elle aime, elle en redemande. De temps en temps elle snife du poper. En même temps, bien sûr, j’ai baissé son slip et je la branle et lui tripote les couilles. Elle a une grosse bite mais pas très raide. Je me mets entre ses cuisses pour la pomper. Ensuite on échange de longs baisers avec la langue, passionnément, comme de vrais amants. Elle aime ça, elle me tient et me caresse la tête. Spontanément elle s’agenouille sur le siège pour que je l’encule. Son trou est ouvert, accueillant. C’est bon, très bon. On se quitte en promettant de se revoir plus tard.
Je continue mes pérégrinations. Dans les waters du haut une autre blonde se penche pour boire au lavabo. Elle reste vraiment longtemps le cul en l’air, offert. J’y vais. Une caresse, elle ne dit rien. Un doigtage, elle respire plus bruyamment. Je ne vais pas laisser passer cette occasion. Je baise ma culotte et mon slip et je pénètre. Je lime un bon moment, doucement, à la papa. Une brune à moitié nue s’approche et se joint à nous. Elle me caresse les fesses et le trou. Si elle m’enculait ce serait formidable. Mais elle renonce. Dommage. Je remercie ma partenaire qui se rajuste et moi aussi.
Debout au fond de la salle du bas je découvre deux personnages singuliers. D’abord un type très mince, torse nu, juste vêtu d’un string et de bas autocollants. Il est chauve, une tête normale de comptable. Je l’ai croisé plusieurs fois depuis que je suis arrivé. Je lui ai tiré les tétons mais rien de plus. A chaque fois que je l’ai aperçu il ne faisait rien. Apparemment c’est juste un voyeur. Mais il ne se branle même pas. Curieux.
À côté de lui une femme ( ? ) âgée, dans une robe à fleurs qui lui arrive à mi-mollet du genre de celles que portait ma grand-mère il y a 50 ans ! Que fait elle là ? Pour l’instant rien. Elle regarde. Elle tient son sac, petit, devant elle.
Quelques temps plus tard je la retrouve dans une autre position : elle est maintenant assise au premier rang, elle a sorti un sein de son corsage et un senior à sa gauche la caresse. Je m’approche pour participer et le senior se lève en disant :
« Je te cède la place ».
Pourquoi pas. Elle a effectivement des seins splendides : gros, mais pas trop, fermes, mais pas rigides, manifestement refaits, mais très bien refaits.
En plus elle a de gros tétons que j’adore caresser, lécher, téter, mordiller… Bien sûr en même temps je lui ai mis la main entre les cuisses. Je n’y ai pas trouvé de bite ! Serait ce une vrai femme ? Elle le prétend lorsque je l’interroge, mais elle m’interdit d’écarter ou de descendre sa culotte. Je la branle par dessus et constate qu’elle est bien mouillée. Pendant ce temps le voyeur-nudiste est venu s’assoir à quelques sièges de nous pour profiter du spectacle. Ma partenaire remarque drôlement qu’il voulait sans doute aller à la piscine mais qu’il s’est trompé d’adresse. On sait rire aussi à l’Atlas.
Je lui demande, bien sur, de me sucer mais elle n’y tient pas.
Elle m’a dit qu’elle s’appelait Chloé. Est ce vraiment une femme ? Quelqu’un le sait il ? Peut être Claude75 qui nous racontes ses nombreuses aventures sur le site lieuxdedrague.fr. Je vais l’interroger.
Autrement il y avait ce soir la d’autres femmes (?) vraiment splendides : une brune avec des cheveux jusqu’au fesses qui a passé un long moment à se peigner dans le couloir, une autre brune très jeune, vêtue tout en noir avec un maquillage très excitant. Au moment où je partais j’ai croisé la plus belle : grande, filiforme, mais avec des rondeurs où il faut, moulée dans une tenue scintillante, des longs cheveux soyeux, un maquillage d’artiste.. je lui ai demandé si elle venait du Casino de Paris ou du Moulin Rouge et j’étais sincère car elle n’y aurait pas déparé. Elle m’a gentiment remercié du compliment avec un fort accent sud-américain. Celle que j’avais longuement embrassé avait le même accent et comme me l’avait dit Isabelle, il y a sans doute des tapineuses qui viennent à l’Atlas pour se détendre et faire des rencontres non-tarifées dans une ambiance sympathique et sécurisée. Tant mieux pour nous.
J’ai donc passé une excellente après-midi.
Étant libre en soirée je suis allé après le dîner à l’Impact Bar. Les horaires on changés : maintenant ils ouvrent tous les jours à 15 h jusque tard dans la nuit. On peut donc maintenant aller se faire enculer dans l’après-midi. C’est à retenir. Il y a vraiment une ambiance dingue : accueil souriant et sympathique, tout le monde est a poil, sauf quelques slips, au sous sol c’est le palais de la sodomie. Le lit a partouze est presque toujours occupé par une ou deux personnes occupées à se faire défoncer avec moult grognements et cris de plaisirs, dans des alcôves on aperçoit des culs immobiles, offerts aux passants, on se retrouve parfois bloqués dans un couloir en attendant la fin d’une enculade entre deux ou plusieurs partenaires ! Clientèle assez jeune, bien montée et pas complexée.
En tous les cas c’est à voir et à faire.
En conclusion: Vive le sexe.
Soudain des cris, une bousculade, des coups sont échangés ! Je ne sais pas pourquoi. Peut être un malpoli a t’il voulu s’imposer à un trav qui ne le voulait pas. Heureusement le calme revient rapidement.
Une main me frôle la braguette, puis m’attrape le sexe par-dessus mon pantalon. Naturellement je l’ouvre et sors l’engin qui commence à bien raidir. Mon branleur est une belle brune, très court vêtue tout en noir. Elle ne tarde pas à se retourner et à me présenter ses fesses pour que je la pénètre. Je ne me fait pas prier. La pénétration est facile, elle est lubrifiée, je bande bien. C’est super agréable. Je lime un bon moment. Elle est penchée sur un siège dans lequel un sénior est assis. Il est au première loge et il en profite bien. Pendant que je travaille par l’arrière il lui branle la bite et lui triture les couilles. À un moment elle se relève et il peut la pomper. J’aimerai bien aussi la sucer mais on ne peut pas tout faire. Autour de nous les gens vont et viennent, regardent, risquent une caresse, attendent leur tour. Au bout d’un quart d’heure, vingt ou trente minutes, je laisse la place très satisfait de moi.
Je fais le tour des lieux. Il y a une bonne dizaine de travs dont plusieurs sont absolument splendides.
Dans la salle du bas une très belle blonde assise au milieu du rang a baissé son bustier et se caresse la poitrine. Je m’approche, frôle son téton. Elle me laisse faire et même m’encourage. Je m’installe à côté d’elle et lui triture les seins et les tétons qu’elle a très proéminents. Je caresse, j’embrasse, je lèche, je mordille.. elle aime, elle en redemande. De temps en temps elle snife du poper. En même temps, bien sûr, j’ai baissé son slip et je la branle et lui tripote les couilles. Elle a une grosse bite mais pas très raide. Je me mets entre ses cuisses pour la pomper. Ensuite on échange de longs baisers avec la langue, passionnément, comme de vrais amants. Elle aime ça, elle me tient et me caresse la tête. Spontanément elle s’agenouille sur le siège pour que je l’encule. Son trou est ouvert, accueillant. C’est bon, très bon. On se quitte en promettant de se revoir plus tard.
Je continue mes pérégrinations. Dans les waters du haut une autre blonde se penche pour boire au lavabo. Elle reste vraiment longtemps le cul en l’air, offert. J’y vais. Une caresse, elle ne dit rien. Un doigtage, elle respire plus bruyamment. Je ne vais pas laisser passer cette occasion. Je baise ma culotte et mon slip et je pénètre. Je lime un bon moment, doucement, à la papa. Une brune à moitié nue s’approche et se joint à nous. Elle me caresse les fesses et le trou. Si elle m’enculait ce serait formidable. Mais elle renonce. Dommage. Je remercie ma partenaire qui se rajuste et moi aussi.
Debout au fond de la salle du bas je découvre deux personnages singuliers. D’abord un type très mince, torse nu, juste vêtu d’un string et de bas autocollants. Il est chauve, une tête normale de comptable. Je l’ai croisé plusieurs fois depuis que je suis arrivé. Je lui ai tiré les tétons mais rien de plus. A chaque fois que je l’ai aperçu il ne faisait rien. Apparemment c’est juste un voyeur. Mais il ne se branle même pas. Curieux.
À côté de lui une femme ( ? ) âgée, dans une robe à fleurs qui lui arrive à mi-mollet du genre de celles que portait ma grand-mère il y a 50 ans ! Que fait elle là ? Pour l’instant rien. Elle regarde. Elle tient son sac, petit, devant elle.
Quelques temps plus tard je la retrouve dans une autre position : elle est maintenant assise au premier rang, elle a sorti un sein de son corsage et un senior à sa gauche la caresse. Je m’approche pour participer et le senior se lève en disant :
« Je te cède la place ».
Pourquoi pas. Elle a effectivement des seins splendides : gros, mais pas trop, fermes, mais pas rigides, manifestement refaits, mais très bien refaits.
En plus elle a de gros tétons que j’adore caresser, lécher, téter, mordiller… Bien sûr en même temps je lui ai mis la main entre les cuisses. Je n’y ai pas trouvé de bite ! Serait ce une vrai femme ? Elle le prétend lorsque je l’interroge, mais elle m’interdit d’écarter ou de descendre sa culotte. Je la branle par dessus et constate qu’elle est bien mouillée. Pendant ce temps le voyeur-nudiste est venu s’assoir à quelques sièges de nous pour profiter du spectacle. Ma partenaire remarque drôlement qu’il voulait sans doute aller à la piscine mais qu’il s’est trompé d’adresse. On sait rire aussi à l’Atlas.
Je lui demande, bien sur, de me sucer mais elle n’y tient pas.
Elle m’a dit qu’elle s’appelait Chloé. Est ce vraiment une femme ? Quelqu’un le sait il ? Peut être Claude75 qui nous racontes ses nombreuses aventures sur le site lieuxdedrague.fr. Je vais l’interroger.
Autrement il y avait ce soir la d’autres femmes (?) vraiment splendides : une brune avec des cheveux jusqu’au fesses qui a passé un long moment à se peigner dans le couloir, une autre brune très jeune, vêtue tout en noir avec un maquillage très excitant. Au moment où je partais j’ai croisé la plus belle : grande, filiforme, mais avec des rondeurs où il faut, moulée dans une tenue scintillante, des longs cheveux soyeux, un maquillage d’artiste.. je lui ai demandé si elle venait du Casino de Paris ou du Moulin Rouge et j’étais sincère car elle n’y aurait pas déparé. Elle m’a gentiment remercié du compliment avec un fort accent sud-américain. Celle que j’avais longuement embrassé avait le même accent et comme me l’avait dit Isabelle, il y a sans doute des tapineuses qui viennent à l’Atlas pour se détendre et faire des rencontres non-tarifées dans une ambiance sympathique et sécurisée. Tant mieux pour nous.
J’ai donc passé une excellente après-midi.
Étant libre en soirée je suis allé après le dîner à l’Impact Bar. Les horaires on changés : maintenant ils ouvrent tous les jours à 15 h jusque tard dans la nuit. On peut donc maintenant aller se faire enculer dans l’après-midi. C’est à retenir. Il y a vraiment une ambiance dingue : accueil souriant et sympathique, tout le monde est a poil, sauf quelques slips, au sous sol c’est le palais de la sodomie. Le lit a partouze est presque toujours occupé par une ou deux personnes occupées à se faire défoncer avec moult grognements et cris de plaisirs, dans des alcôves on aperçoit des culs immobiles, offerts aux passants, on se retrouve parfois bloqués dans un couloir en attendant la fin d’une enculade entre deux ou plusieurs partenaires ! Clientèle assez jeune, bien montée et pas complexée.
En tous les cas c’est à voir et à faire.
En conclusion: Vive le sexe.
il y a 2 mois
